OPÉRA
FÉERIE

Musique : Gilles Tremblay

Livret : Pierre Morency

Direction musicale : Lorraine Vaillancourt

 

Mise en scène : Robert Bellefeuille

Scénographie : Jean Bard

Costumes : Marianne Thériault

Lumières : Nicolas Descôteaux

Vidéo : Etienne Cantin

 

Photos : © Nicolas Descôteaux

 

PRODUCTION : CHANTS LIBRES

Montréal, Monument National, 2010

Extraits | Synopsis/

L’opéra féerique « L’eau qui danse, la pomme qui chante et l’oiseau qui dit la vérité » fut une production hautement visuelle dont le résultat fut la suite d’une constante et rigoureuse implication des concepteurs afin d’obtenir une cohérence de l’unité visuelle. Rares sont les projets où tous les membres participent activement à résoudre l’énigme de l’homogénéité qu’implique de telles créations. Le sujet de départ n’était pas facile  à cerner tant les possibilités pouvaient aller dans toutes les directions. La mise en scène fut sobre et combien plus efficace mettant de l’avant les lignes pures et l’évocation au profit de la démonstration. Le décor fut composé d’un plancher noir miroir et d’un écran avec une cache molle qui permettait différents horizons. À l’aide du médium de la vidéo plusieurs lieux furent illustrés sur l’écran alors qu’à d’autres moments, c’était l’éclairage qui prenait le relais grâce à l’utilisation de cyclorama  «  à la Robert Wilson ».

 

Prix OPUS 2009-2010 – Création de l’année

Prix OPUS 2009-2010 – Événement musical de l’année

Prix OPUS 2009-2010 – Disque de l’année

PRESSE

“Les habiles éclairages de Nicolas Descoteaux, tributaire des aurores boréales, privilégient les ondoiements de lumière et enveloppent à merveille l’espace scénique, le regard se trouvant à la fois interpellé par le scintillement et la profondeur des volumes.”

Par Lucie Renaud, Revue Jeu #134 (Canada), 8 avril 2010

 

 

«Le spectacle comme tel est magnifique: effets scéniques de toutes sortes, projections suggérant divers lieux, éclairages ingénieux et parfois dirigés vers la salle, jeux d’ombres, costumes extravagants et luxueux.»

Claude Gingras, La Presse (Canada), 21 novembre 2009